Micro dilutions manuelles - Des auto-remèdes sur mesure - Guide pratique - De Michel Dogna et Anne Françoise L'Hôte - Ebook

11,50 €

Ebook 183 pages

Quantité

Produit virtuel, à télécharger uniquement

Au moment où il est sérieusement question de rayer définitivement de la carte la très gênante homéopathie, malgré des millions d’adeptes fidélisés et plus de 6000 médecins convertis à l’homéopathie, j’ai décidé de dévoiler des moyens artisanaux faciles, propres à sauvegarder ce merveilleux outil thérapeutique qui a fait bientôt deux siècles de preuves cliniques avérées.

De temps à autre, des personnes manifestent leur étonnement, me taxant de critiquer l’homéopathie alors que j’ai édité de nombreux écrits pour la promotionner. Ces gens croyant que ce qui sort des labos industriels est au dessus de tout soupçon sont bien naïfs et j’énoncerai les sabotages successifs qui ont discrètement eu lieu ces dernières décennies.

Ce qui m’a le plus étonné, c’est le peu de réactions des praticiens dans leur ensemble, ce qui prouve qu’ils n’ont pas bien compris pour la plupart d’entre eux, le mécanisme réel du principe homéopathique, ni réalisé qu’on cassait gentiment leur outil de travail – car sauf effet placebo, la mollesse croissante des résultats allait bien sûr être mis sur le dos d’un manque de compétence de leur part, mais jamais sur celui des fabricants. Aussi, je veux démontrer ici, à partir d’un matériel très rudimentaire, que nous n’avons nul besoin de laboratoires sophistiqués pour élaborer des micro dilutions de qualité, fiables, efficaces, et sécurisés.

Puisque l’homéopathie est en passe de disparaître, voire devenir illégale au motif qu’elle prive les chances des malades d’être soignés efficacement par la médecine officielle, seule scientifiquement démontrée. Par ailleurs, je n’aime pas les titres professionnels se terminant par « pathe » (de pathos = maladie), ceci renvoyant à la référence de « névropathe » (qui n’est pas un spécialiste mais un malade mental) donc suggérant instinctivement l’idée d’un malade comme ostéopathe (malade des os), ou naturopathe (malade de la nature)… et homéopathe pouvant s’interpréter malade des ressemblances (puisque homéo = similitude). Bref, à l’avenir, il faudra éviter d’employer le mot « homéopathie » pour ne pas être repéré dans les mots-clés des textes. Et voila pourquoi j’emploierai pour l’avenir le mot « microdilutions ».

Références spécifiques